Cellou Dalein Diallo marche sur le tapis rouge de la reconnaissance mondiale.
Ancien Premier ministre de Guinée, leader de l’UFDG, il ne quémande rien : le monde lui tend les honneurs. Courageux, intègre, inflexible, il incarne tout ce que la dictature guinéenne n’osera jamais être.
Le paradoxe est cruel. À Conakry, un petit clan militaro-civil corrompu et aveuglé par l’ethnicisme s’acharne contre lui. Ils règnent par les armes, la peur et la division. Ils confisquent le pouvoir par la force, et pourtant, chaque médaille, chaque prix international reçu par Cellou Dalein Diallo est une gifle. Le monde applaudit ce qu’eux méprisent : la compétence, l’intégrité, la légitimité populaire.
Ils ont tout tenté. La persécution, l’exil, les menaces, la destruction de ses biens, l’intimidation. Tout échoué. Cellou Dalein Diallo reste debout, plus fort, plus respecté, plus invincible que leurs kalachnikovs et leurs décrets militaires. Chaque hommage international est un camouflet, chaque accolade du monde entier un rappel cruel que la tyrannie n’a pas le dernier mot.
En 2017, Human Rights Watch lui décerne le Prix Alison Des Forges, consacrant des décennies de lutte pour les droits humains. En 2022, la Fondation Friedrich Naumann l’honore pour sa défense pacifique mais implacable de la liberté et de la démocratie. Le monde entier reconnaît ce qu’il est : un vrai leader, un homme d’État, un Africain au sommet de la scène politique mondiale.
Il foule les tapis rouges de Paris et de Bruxelles, siège aux côtés des grandes figures mondiales, côtoie les anciens présidents et premiers ministres du Club de Madrid, dirige l’Internationale libérale. Pendant ce temps, la junte de Conakry reste isolée, méprisée, incapable de séduire qui que ce soit en dehors de ses murs de béton.
Le respect, lui, ne s’achète pas avec la peur. Le FMI et la Banque mondiale l’écoutent, car Cellou Dalein Diallo parle avec expertise et vision. La junte, elle, a ruiné le pays et les institutions internationales refusent de lui tendre la main. C’est là toute la différence entre un leader et des tyrans : l’un inspire confiance, l’autre inspire la fuite.
Cellou Dalein Diallo n’a pas cherché les honneurs. C’est le monde qui lui a ouvert ses portes. Il prouve chaque jour que l’intégrité et la dignité sont plus puissantes que l’intimidation et la corruption. Il est la preuve vivante que même un Africain, même un dirigeant persécuté, même un homme d’un petit pays, peut marcher sur le tapis rouge de la reconnaissance mondiale.
Quand la Guinée retrouvera la démocratie, le peuple saura qu’il avait un leader qui n’a jamais trahi, jamais abandonné, jamais renoncé à ses convictions. Les corrompus, eux, auront laissé derrière eux chaos et misère. L’histoire, implacable, aura choisi son camp. Et le tapis rouge ne sera plus un symbole d’apparat : il sera le témoignage éclatant d’un combat juste, d’une victoire de la dignité sur l’oppression, d’un homme debout face à la tyrannie.
