Cette année 2025 ne me changera pas aussi M Morisandan Kouyaté, et j’écrirai!
On dit “ Qui s’affecte d’une insulte, s’infecte“!
Alors Insulte, Invective, Dénigre !
Tu n’auras aucune réponse !
Je ne veux pas être infectée !
Et je ne serais jamais affectée ou impressionnée par ton arrogance, ta posture, ta bassesse et ta position.
Car l’insulte ethniciste c’est l’argument final de celui qui ne peut rien dire.
Mieux les petits monstres des réseaux sociaux de Morisandan Kouyaté, l’actuel ministre des affaires étrangères et des guinéens de l’étranger Morisandan me rappellent les Néonazis en Allemagne, qui face à un africain qui argumentent brillent par des injures racistes ou se taisent à jamais.
Néanmoins c’est à la mode en Guinée et c’est l’œuvre des idiots et des ministres médiocres, facho-ethnicistes.
Pourtant, cette année 2025 aussi ne me changera pas. J’écrirai!
Je vais rester moi-même !
Même si ces injures ethniques, personnalistes, n’outragent pas les adeptes de la violence d’état cloîtrés au palais Sékhoutouréya.
Et que leur subalternes de ministres et ambassadeurs zélés croient qu’un simple coup de fil, ou le simple fait d’être ministre ou d’appartenir à ce clan facho-ethniciste peuvent me faire plier en deux.
Or je reste plus que jamais debout !
Et je dénoncerai quand même!
Le système, ses privilèges autour ne m’intéressent point !
Je ne veux pas y appartenir !
Comprenez cela !
En effet, c’est pas parce que vous êtes ministre, qu’il vous faut écraser, monter et escalader sur les autres pour hisser à l’image de vos parrains gangsters, votre drapeau personnel.
Et quant à vos petits monstres des réseaux sociaux, ils ne possèdent même pas d’échelle pour gravir cette montagne, pour sortir de leur trou ou se tirer d’affaires de leur aventure diasporique.
Moraliste, profiteur, flatteur sans vergogne inspire toi des valeurs positives de ton pays d’accueil pour impacter positivement ton pays la Guinée et arrête d’être parasité par l’extérieur et apprend à écouter ta voix intérieure pour aider le peuple de Guinée à être libre.
Car il souffre et les Guinéens ne méritent pas d’être tués, torturés, expulsés de l’Allemagne, de la Mauritanie parc qu’ils ont été contraints de quitter leur pays.
Je suis fatiguée de voir l’Afrique et la Guinée à la traîne.
Je m’investis pour que les leaders africains méritent leur statut.
Je vais me taire, le jour où la Guinée aura un leadership en lieu et place d’un dealership.
Ce leader doit impérativement être cette personnalité attachante avec une valeur morale immaculée, n’a instrumentalisant pas la politique, le peuple sur fond de divisionnisme.
Il doit être ce leader avec lequel la Guinée ne sera pas la risée des puissances impérialistes.
Donc un leadership capable de s’assurer de l’adhésion de la grande majorité de tous les guinéens à ses idéaux pour ainsi éviter de nous fabriquer des militants extrémistes, ethno-haineux, décérébrés et suivistes sans aucun sens de discernement.
Car le leadership doit générer tout l’inverse du suivisme.
Alors à Morisandan Kouyaté, le ministre chargé de l’expulsion des Guinéens pour l’État allemand, ses petits monstres des réseaux sociaux, habituez vous à mes critiques.
Armée juste de ma plume pour dénoncer cette décérébration guinéenne; ce manque de cerveau-chef par quoi sont annulées les meilleures énergies de notre malheureuse nation enrossée de dirigeants divisionnistes tels que Morisandan Kouyaté, vos injures, intimidations par la force de mon mental d’acier ne vont pas m’atteindre.
En effet c’est cet homme ou femme dont les actions sont capables de faire rêver ou inspirer les autres d’apprendre, de faire et devenir davantage que l’on peut appeler LEADER.
Et aucun homme ou femme ne fera un grand leader s’il veut faire tout lui-même ou recevoir tous les honneurs pour lui même.
N’est ce pas c’est ce genre de dealership on nous a habitué en Guinée?
Et Mamady Doumbouya ne peut pas porter le costume de ce dealership.
Vous avez horreur des critiques, alors méritez un peu votre statut de leadership.
Et vous verrez que le temps de devenir un Rawlings sera plus court que possible.
Et c’est pourquoi d’ailleurs je dis souvent peu importe ce qu’ils pensent, j’écrirai.
Peu importe ce qu’ils disent,
j’écrirai.
Peu importe ce qu’ils jugent,
j’écrirai.
Peu importe les circonstances qui conditionnent ma vie dis-je,
j’écrirai.
J’écrirai encore et encore, jusqu’à vider la dernière cartouche d’encre de mon cerveau.