Docteur Faya vous êtes le menu fretin de la politique Guinéenne
Défendez vos opinions, mourrez pour elles, cette liberté vous est accordée et même permise. Vous pouvez aussi appartenir à une caste de parvenus qui vivent de petits larcins en faisant le djeli de la Gouvernance, la “realsocial” Guinéenne le tolère malheureusement. Avec un pince sans rire on peut être un ripou et sortir dans la rue et affronter les regards. Exit le monde de Sartre où on avait honte lorsqu’on était vu.
Monsieur Milimouno je déteste les attaques Ad hominem mais j’y réponds toujours. Il faut toujours rappeler à l’aveugle qu’il n’est pas seul sur la piste de danse.
Pourquoi dans votre choix de flagorner d’aller à coup sûr dans le mauvais sens de l’histoire vous nous insultez ? Nous réduire à de “soi disant” forces vives ? Ne pouvez vous pas faire votre “Walk on the dark” sans nous ? Non Docteur Faya, les Forces vives représentent ce grand nombre de Guinéens qui aspire à une Guinée dépouillée de ces gens qui ne cherchent qu’à vivre avec 2000 dollars par mois. Do you get me pour faire du rotten english ?
Quand on fait partie du menu fretin de la politique et que plusieurs années après on est toujours au stade d’alevin, pas prêt pour être consommé et que le marigot politique est trop grand pour vous. Il faut savoir raison garder et surtout ne me dites pas que vous avez été Quatrième à une élection. Les langues se sont déliées depuis et laissons ces choses du passé mourir de leur propre contre-vérités.
Vous avez des qualités certainement utilisez les pour remplacer le peuple dans la fabrication de l’opinion (Anna Arendt). Quand on est docteur on diagnostique et on soigne les maux, or il y a des maux de notre société, l’éducation par exemple dont on dit que vous êtes un spécialiste et faites taire ma plume belliqueuse (je préjuge).
Les Forces Sociales font partie des forces vives et elles sont composées d’hommes et de femmes de valeurs qui participent activement à l’émergence d’une Guinée où il fait bon vivre.
Les spécialistes de la communication comprendront aisément que je me suis beaucoup retenu autrement je me serais davantage épanché, mais en bon gentleman je ferai comme De Gaulle parlant de l’histoire de l’observatoire à propos de François Mitterrand “N’en parlez plus il pourrait un jour être président de ce pays”, même si pour vous l’histoire ne bégayera pas.