Cellou Dalein Diallo en visite de travail en Europe
Le président de l’UFDG et de la coalition politique ANAD est de nouveau en tournée européenne. Il est à Paris à l’invitation du Mouvement des entreprises de France (MEDEF), pour prendre part, aux côtés du président du Bénin, Patrice Talon, demain lundi 29 et mardi 30 août, à l’Université d’été du mouvement, à Paris.
Ainsi, après avoir participé vendredi dernier, 26 août, en ligne au Forum 2022 du Futuroscope de la Fondation prospective et innovation dirigée par l’ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin sur le thème « l’Europe dans un monde de ruptures« , Cellou Dalein Diallo a l’occasion de rencontrer lors de son séjour français des gens d’affaires de l’hexagone, potentiels investisseurs dans une Guinée qui aura retrouvé l’ordre constitutionnel normal. Des gens d’affaires qui sont bien introduits aussi bien à l’Élysée (Présidence française) qu’à Bruxelles, siège de l’Union européenne, principale partenaires économique et financier de nombreux pays en développement, dont la Guinée.
Après Paris, le favori de la prochaine élection présidentielle en Guinée se rendra en Allemagne, en Italie, en Suisse et en Espagne, pour parler du développement de la Guinée avec des guinéens et des dirigeants de ces pays. Son retour au Sénégal marquera-t-il le début d’une tournée des capitales de pays membres de la Cedeao. pour répondre aux invitations de membres de son parti ?
De nombreux commentateurs estiment que « Cellou Dalein Diallo doit aller rencontrer les membres et sympathisants de son parti à Abidjan, Cotonou, Bissau, Monrovia, Accra, Cotonou chez le Médiateur, Lomé et Abuja, siège de la Cedeao dans le cadre des missions de soutien à la médiation de la Cedeao. dans ces villes. Il faut qu’ici et là les dirigeants de la Cedeao mesurent le poids de l’UFDG car, partout, notamment à Abidjan, Dakar, ce sont des centaines de milliers, donc des millions du monde qui soutiennent l’UFDG, Il faudrait que la Cedeao sache que la majorité des guinéens de l’intérieur et de l’extérieur supportent la médiation, pour un retour à l’ordre constitutionnel normal« .
Ibrahima Sory BALDÉ