Les attaques au vitriol distillées à l’encontre de l’UFDG et de son Président, Cellou Dalein Diallo, sont un grand classique dont usent et abusent tous les individus en mal de visibilité et en quête de promotion surtout dans la perspective d’un remaniement ministériel.
Il est bien connu que pour avancer dans cet océan de médiocrité que nous offre le CNRD en guise de gouvernance et pour témoigner de sa loyauté à ses nouveaux maîtres , il faut taper fort sur la personne du très respecté et respectable Président de L’UFDG, Cellou Dalein Diallo.
Tout excès est permis en la matière, surtout quand il faut détourner l’attention sur les atrocités criminelles commises sous le CNRD et les restrictions récurrentes de l’espace civique actuellement à l’œuvre.
Le mérite et les compétences importent peu, seule la surenchère dans les insultes et les offenses sont encensées et constituent le tremplin idéal pour se positionner dans le seul objectif de se faire plein les poches sur le dos de populations désabusées. Et oui, toute cette agitation au nom du CNRD dont il se fait désormais le porte-parole est loin d’être menée pour les beaux yeux de la junte, cela se saurait, mais par pure cupidité !
On peut ne pas aimer l’homme d’Etat qu’est Cellou Dalein Diallo car, comme disait Sacha Guitry, plaire à tout le monde, c’est plaire à n’importe qui, mais on peut lui reconnaître son combat inlassable, sa constance et sa résilience dans La Défense des principes et valeurs de l’Etat de droit et de la démocratie. Il a démontré que pour lui, ces valeurs sont non négociables et ce n’est pas un Bakary Keita dont le récent excès de zèle passera à la postérité de la pire des manières, qui viendra nous en faire douter.
Ses qualités d’homme d’Etat sont constamment saluées et reconnues par des grandes personnalités et des institutions de renom telles que l’ancien Secrétaire Général des Nations Unies Ban Ki-moon et la Fondation allemande Friedrich Naumann pour la liberté, qui lui a décerné son prestigieux prix pour la liberté, pour ne citer que ces exemples.
Mohamed Bakary Keita, par ses attaques personnelles et les contrevérités assénées sur une radio de la place, aura du mal à se regarder dans un miroir en se rasant le matin si tant est qu’il est doté d’une conscience à convoquer.
Hier, pourvoyeur de la liberté de manifester, aujourd’hui fossoyeur de cette même liberté, c’est à se demander dans quel monde parallèle il vit en affirmant mettre au défi quiconque soutiendrait que les manifestations sont interdites en Guinée ?
Le pouvoir lui serait-il monté à la tête au point de désavouer publiquement ses patrons qui, dans un communiqué daté de septembre 2021, et un autre daté du 30 mai 2022, interdisaient toute manifestation?
Les Nations Unies en avaient même appelé à lever cette interdiction générale et absolue. Parler d’aménagement revient à une gifle sur les deux joues du peuple de Guinée qui prendra date avec l’histoire.
La roue tourne! Tâchez de vous en souvenir en maniant l’arrogance qui vous colle désormais à la peau!